Un pas de plus dans le déni de l’identité française et européenne a été franchi dimanche matin, lorsque des nervis du système, faux rebelles mais vrais bolcheviks ont investi en pleine messe dominicale l’église St-Nicolas-du-Chardonnet à Paris, en lançant des fumigènes et des boules puantes.
Cet acte est tout un symbole, que l’on adhère ou non aux idées véhiculées par cette église, importe peu, c’est un pan de notre civilisation qui est la cible d’un gouvernement qui autorise sciemment la dégradation d’un lieu de culte, représentation millénaire de notre identité en vue de son éradication définitive dans le melting pot universaliste.
Des verts aux rouges, le dessein du gouvernement est clair, baisse des subventions pour entretenir les églises voire abandon pur et simple, le tout avec la complicité tacite d’un haut clergé qui trouve les moyens de financer des écoles en Afrique, mais n’a pas les moyens de restaurer une vielle chapelle vouée à la ruine au fin fond de l’Auvergne et qui ne fera pas la Une des journaux aux ordres.
Il est intéressant de faire le parallèle avec la bombe médiatique provoquée par l’occupation d’un chantier de mosquée par des jeunes européens à Poitiers et le silence absolu des médias face à l’agression en pleine messe d’une église remplie de croyants. On voit bien ou sont les priorités, la laïcité ne fonctionne que vers la gauche surtout lorsqu’elle est chrétienne.
Après tout des lieux de culte en France on en manque pas, la preuve dans les années 1980 on dénombrait environ 500 mosquées et actuellement on dépasse le chiffre des deux mille , la petite chapelle d’Auvergne pourra toujours servir d’épicerie… A méditer.